Vous arrivez tous sur la plage alors que le passage d’eau se referme derrière vous. Le sable est blanc et les vagues sont très hautes. Vous devez vous éloigner de la plage et vous réfugier en hauteur le plus vite possible, car l’océan est encore agité, mais avant cela, vous voyez une pile d’objets devant vous. Peut-être pourraient-ils vous aider à survivre sur cette île ?


Les objets seront choisis au hasard sur l’article « Liste d’objets pour l’event et lancers de dés » et vous reviendrez ici pour RP le moment où vous récupérez votre objet.

Puisque tous les participants devront poster ici, nous vous demandons de vous limiter à quelques lignes pour ne pas créer le bordel.

Vous pouvez donner quelques coups, tant que la bagarre ne prend pas.

Vous n’êtes pas obligé de choisir un objet bien que ce soit recommandé.

Une fois cette partie terminée, dirigez-vous vers le chemin 1, 2, 3 ou 4.

Nous demandons un minimum de deux personnes dans chacun des chemins et un maximum de trois personnes.

L'eau se referme derrière Richard et les autres. Il peste à cause de ses vêtements trempés, et se plaint de l'absurdité de la situation. Il songe à sécher son chapeau quand il voit un pile d'objet un peu plus loin devant lui. Il prend le plus voyant et le plus coloré, c'est-à-dire un pot de peinture rose. Une couleur aussi voyante est si rare ces temps-ci, dit-il, que c'est un bien encore plus précieux que tous les autres. Il part donc, vantant les qualités de la couleur rose.

Je n'ai pas dit un mot lors de la traversée du tunnel, mais ça ne veut pas dire que je ne l'ai pas détester. La mer m'avait manqué, et tous les moyens de la traverser sont bons. Mais c'est en voyant une pile d'objet déposée devant moi comme une pile de richesses. Un homme vêtu de blanc s'empare du pot de peinture et moi, à toute vitesse, j'essaie d'en ramasser le plus possible. En essayant de me sauver les bras plein, chaque morceau m'échappent un à la fois, si bien que je me retrouve juste avec la pagaie quand je me pousse pour de bon. Bloody hell...

Je couru pour me dégourdir les jambes, bien que je n'avais rien à craindre puisque je suis immortel ! Pas même l'océan pouvait m'arrêter. J'étais entouré d'êtres inférieurs qui couraient pour leur vie... Pathétique ! À mon arrivé, je ne pouvais voir que des déceptions... J'aurais pu tous les tuer ici et maintenant sachant qu'il s'agit probablement des seuls personnes sur ces terres, mais qui je pourrais tuer ensuite ? Je vais devoir les tuer un par un malheureusement... Tant rendre l'utile à l'agréable en les torturant... Héhéhé.

Il y avait un tas d'objet dont certains m'étaient inconnu, la mort me prit le marteau alors que je voulais que ce soit mon arme de prédilection, alors soit. Je vais prendre le sablier, un joli outil lorsqu'il vient de torturer quelqu'un psychologiquement en lui donnant un temps limité pour me convaincre de ne pas le tuer.

Lorsque j'arrivai sur la plage, je fis comme tout le monde et me mis à courir vers la pile d'objets. Je réussis à saisir une corde, mais, alors que j'allais partir, une espèce d'énergumène s'approcha de moi dans le but très précis de me voler ma corde. Une joute de souque à la corde commença. Je me jetai sur lui pour lui mordre le bras de toutes mes forces, espérant que ça le ferait lâcher ma corde.

Il était probablement sur le point de lâcher prise quand je trébuchai contre un objet qui traînait et tombai au sol, laissant involontairement ma corde à cet inconnu. Je me relevai et m'apprêtai à le pourchasser, mais il était déjà loin. Frustrée, je kickai l'objet à mes pieds avant de décider de le prendre et de partir avec. Je ne savais pas en quoi un vulgaire cahier pourrait m'aider, mais la prochaine personne qui tenterait de venir me faire chier allait très certainement l'avaler. Autrement, je pouvais bien improviser quelque chose avec ça.

La première chose que je vis sur l'île fut la pile d'objets qui traînait sur le sable. Sans me poser plus de questions, je fonçai sur elle, dérapant un peu sur le sable mouillé, et m'emparai de ce que je croyais être un tournevis. Je détallai vers une paroi rocheuse qui était devant moi. Rien ne nous assurait que la plage était encore sûre à cause de la tempête, alors autant se réfugier en hauteur.

Ce n'est qu'arrivé au pied du mur de roches que je réalisai que, au creux de ma main, se trouvait un foutu pinceau métallique et non un tournevis. Je regardai en arrière et vis que tous les objets avaient désormais été pris. J'allais devoir faire avec mon pinceau.

Hé merde !! De l'eau a n'en plus finir ! Je courais pour ma vie dans un tunnel qui semblait nous amener jusqu'à la cité perdue d'Atlantide. Le résultat était bien loin du compte avec cette île. Par contre il y avait pleins de monde !! En fait touts les survivants devait être là ou mort noyé (logique) je reconnaissais la plupart des personnes présentes, enfin je pouvais aller parler à tout le monde ! Le temps que je pris à admirer ma situation, il n'y avait presque plus d'objets, encore moins intéressant. Je voulais absolument la corde qui était l'objet le plus utile pour sûr ! Je couru vers une jeune femme et tira la corde le plus possible, elle me mordu... AHHHHH !! Je saignais au bras et avait une bonne marque. Au moins, elle finit par trébucher pour finalement avoir la corde en ma possession, il fallait absolument que je montre ça à Alvy ou Laura !

J’ai pas aimé devoir réveiller Jay en panique en disant que, contrairement a ce qu’elle avait dit lors d’une de nos dispute, si tout est mouillé, c’est pas ma faute. Lors de la traversé, pour une fois, je n’ai rien dit et j’ai juste tremblé. Je ne l’ai jamais dit à personne, ais même si j’apprécie une bonne baignade, j’ai un peu de l’océan et de la mer. Je fais bien attention a ce que personne ne remarque mes tremblements et j’utilise mes talents d’actrices acquise lors de mon enfance pour jogger en gardant mes mains dans mes manches. J’ai fini par juste courir, les mains hors de mes poches et ma cheville à décider de torde pour me faire tomber dans un tas d’objet. Avant d’atterrir, je mets un bras devant des yeux. Heureusement, parce que j’écrase quelque chose de pas très gros. Je me relève en prenant le truc que j’écrasais… Un bateau ravitailleur en plastoc? Je l’ai fragilisé, mais pas encore briser. Si je casse la cheminé et que ça me donne un bout point, ça serait pratique… en cas de besoin, je frapperais d’abord avec le bateau, puis ça le cassera et me fera deux autres armes. Pas de problèmes.

Bon, maintenant, où est Jay? Et Anar? J’arrive à les voir, ainsi que le capitaine qui regarde sa palme avec… il est déçu? Bon, j’avoue qu’avec la file d’objet, dont mon bateau que j’ai écrasé, il a dû essayer de tout prendre. Bref… Que dois-je faire maintenant?

Je reste en retrait pendant que tout le monde se rue sur la pile d'objets comme des sauvages, observant attentivement la situation avec dépit. Rejoindre la folie et risquer de finir comme ce cher Anarchangel, mordu jusqu'au sang par une petite hystérique, pour une bagatelle? Non merci! Je secoue la tête et me prépare à commencer l'exploration en contournant la pile de plus en plus petite d'objets quand je sens quelque chose de pointu sous mon pied qui menace de transpercer ma botte. Curieux, je me penche pour farfouiller dans le sol jusqu'à trouver un clou... puis un autre. Puis un autre. Pendant que tous les autres partent en trombe avec leur prix chèrement gagné, je continue de patiemment déterrer tous les clous jusqu'à en avoir une bonne poignée, que j'enfouis rapidement dans ma poche. Qui sait, ça peut me servir plus tard. Je relève la tête et constate que je suis à présent seul devant les vagues rugissantes. Haussant les épaules, je me dépêche de partir, jouant distraitement avec un clou resté entre mes doigts.