J’ai toujours des problèmes. D’abord, j’ai eu mon enfance qui n’était qu’un ramassis de problème et de manipulation à mon égard. Ensuite, j’ai eu mon adolescence qui n’a été qu’un ramassis de problème que je soulageais à ma manière. Ensuite, il y a eu mes premiers 6 mois en tant qu’adulte… c’est des problèmes. J’ai toujours crue en la bonté des gens, mais je l’ai tellement regretté… je me demande pourquoi je suis encore aussi naïve… Je fais pourtant de mon mieux… dès que je rencontre quelqu’un, je reste distante et j’évite de tout dire, mais je finis toujours par vouloir croire que la personne est gentille…

Durand mon enfance, mon père prenait beaucoup d’alcool. Beaucoup trop. J’ai été souvent battu, mais je n’avais aucune marque… un expert médical n’aurait jamais sus à quel point je recevais des coups…

Les gens ne me croyaient pas et mon père a toujours réussis à me manipuler pour que je lui pardonne…

Mon père mettait toujours la faute de sa violence sur l’alcool… ou rejetant la faute des coups donné sur ce que j’ai fait ou pas… Lorsque j’avais causé des problèmes à l’école, je finissais par me battre, littéralement, avec mon père.

Ma mère est portée disparu depuis ma naissance, mais en fait, elle est morte. Je l’ai vus lors de mes 12 ans… J’ai rencontré ma mère qui était revenue pour me faire partir et mon père nous a vus… tout ce qui a suivi a été si vite… Je ne sais plus comment, mais, après quelques minutes d’engueulades, j’ai vu ma mère étendue au sol, les yeux fixant le plafond et du sang coulait de son crâne.

Pour ce qui est d’où est le cadavre… je n’en sais rien… peut-être que mon père a réussis a faire accusé quelqu’un d’autre a sa place… je n’en sais rien… par contre, il est resté avec moi et il a continué a m’élever dans la peur.

J’ai essayé d’en parler… mais… Ça m’a value de tomber sur le calorifère qui m’a brûlé l’arrière de ma cuisse droite, parce que mon père m’a surprise dans le sous-sol, au téléphone a aborder le sujet. Je n’ai plus recommencé.

J’ai toujours cru que mon père guérirait… qu’il changerait… et j’ai abandonné à mes 16 ans.

Lorsque je suis devenue adulte, j’habitais dans mon propre appartement, avec Marianne Sérin, une fille de joie qui m’a apprise la théorie de son travail, pour s’amuser, sans penser que j’avais déjà finis comme elle… Elle m’a empêché de faire trop d’erreur qui m’aurait emmené plus de problème et elle m’a protégé contre ma propre vie. Elle a été ma lumière, dans un monde de ténèbres où tout le monde croit qu’il est seul. Grâce à elle, j’ai réussis à travailler dans le seul domaine, autre que le sexe, dont je suis une experte : la cuisine. Elle m’a vraiment aidé à finir derrière un four pour faire des lasagnes et des pâtisseries. Le restaurent dans lequel je travaillais était devenue populaire grâce à moi. Et moi, je disais toujours que c’était grâce à Marianne.

Ce que je ne savais pas, c’est que c’était le calme avant la tempête. Du jour au lendemain, mon employeur a voulu profité de moi, mais j’avais refusé, ce qui fait que j’ai été officiellement vendu à un… membre de mafia dont je ne connais pas les origines. J’ai fuis peu avant que le contrat soit signé. Marianne m’a suivi… L’avantage avec son travaille, c’est qu’elle a des contacts partout et qu’elle travaille à son compte. Elle pouvait me dire, lorsque ceux qui me recherches sont trop loin pour nous retrouver. J’ai crue en sa gentillesse… Je n’aurais pas dû.

Elle avait été payée par ce mafieux pour me tuer, si j’essayais de fuir… au bout de 4 mois, elle a eu l’ordre de m’éliminer, donc elle a entendu que je rentre du boulot que je venais d’avoir pour me viser avec un pistolet et me raconter son lien avec ceux que je fuyais depuis 4 mois. Au début, j’ai laissé des larmes coulées, puis je lui ai demandé si elle voulait vraiment m’éliminé…

-ça me rapportera assez pour arrêter ce travail et pour changer de voie… je pourrais prendre ta place auprès de cet homme… qu’en penses-tu?

Voilà ce qu’elle m’avait répondu. Je l’ai regardé, horrifié, avant qu’elle n’appuis sur la détente. Pourquoi avais-je crue un instant qu’elle était de mon côté?