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♠ Alvaro Suarez
Roi

♠ Alvaro Suarez


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Date d'inscription : 13/01/2017

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MessageVen 13 Jan - 20:27
Alvaro Suarez
ft. Spain/Hetalia Axis Power

Nom(s) :: Suarez
Prénom(s) :: Alvaro
Surnom(s) :: La Peste Rouge
Âge :: 31 ans
Sexe :: Masculin
Orientation sexuelle :: Hétérosexuel
Nationalité :: Espagnol
Groupe désiré :: Clan des Piques
Époque d'origine :: 18me siècle
Situation conjugale :: Fiancé
Situation familiale :: Mère décédée, père inconnu et probablement décédé et pas de frères et de sœurs.
Ancienne profession :: Pirate

Force :: 65/100
Vitesse :: 50/100
Endurance :: 70/100
Intelligence :: 65/100


Avis sur la situation :: Il n’est pas très content d’être ici, mais il va vite s'y faire…je crois?

Caractère

Je pense beaucoup à lui, depuis qu’il est parti.  Il m’a beaucoup aidé et est resté très longtemps avec moi.  J’ai pu apprendre à le connaître.  Au début, sur son bateau, j’avais très peur, car ma conscience me rappelait que tout pirate a toujours des mauvaises intentions.  J’avais quand même raison, malgré tout ce qu’il a fait pour moi, j’ai vu que cet homme mentait quand il en jugeait la nécessité et qu’il faisait des coups bas pour obtenir des services.  Le pire, c’est que son équipage ne s’en vexe pas vraiment, je crois que c’est une sorte de mutualité.  Pourtant, il semble tenir à son équipage et l’apprécier.  

Quand il m’a aidé à m’installer sur New Providence, il me draguait tout le temps.  J’ai n’ai pas dû être sa première victime, mais je me demande s’il le faisait toujours aussi intensément.  Mais, malgré son arrogance, son côté un peu manipulateur et enjôleur, et ses manières de faire assez illégales et sales, il a quand même fait beaucoup de sacrifice pour moi. Qui sait combien il a dépensé, pour m’installer, et je voyais que ça lui faisait un peu mal : je crois qu’il avait prévu de dépenser pour boire, jouer et avoir du sexe.  Il prenait quand même le temps de m’apprendre l’anglais, et il avait même réussi à me fait comprendre qu’il voulait améliorer mon vocabulaire en espagnol, qui était déjà très minime.  En échange, je devais lui apprendre l’arabe.  Car cet homme avait une soif de savoir inimaginable, et avait une grande passion pour les histoires, peu importe si elles étaient fictives ou réelles, il en connaissait plein.  Il m’en racontait une chaque soir, et à la fin il m’avait même incitée à en raconter une.  Lorsqu’il me parlait de tous ses abordages et de comment il est devenu pirate, j’ai fini par comprendre qu’il était vraiment assoiffé de liberté.  Mais je crois que ce qui rend le plus heureux, c’est quand il est sur la mer.  Maintenant, puisque me respecte pour ce que je suis et qu’il respecte ma bulle, je vais respecter la voie qu’il a choisi, même s’il risque de faire des choses vraiment morbides et qu’il en accepte les conséquences comme si ce n’était rien.  Il sera mieux heureux à naviguer sur l'océan.

Mais pourquoi ça me fait si mal?


Physique

Taille :: 1m78
Poids :: 75kg
Corpulence :: Un peu mince, et ses muscles sont bien définis.
Teint de la peau :: Brun pâle

Couleur des yeux :: Vert émeraude
Taille des yeux :: Moyens

Couleur des cheveux :: Brun moka
Coupe de cheveux :: Ses cheveux descendent un peu plus bas que la nuque, et ils sont attachés avec un ruban.


Expression faciale :: Sourire en coin
Visage :: Un peu ovale
Sourcils :: Moyens

Particularités :: Aucune.
Style de vêtement :: Manteau rouge rubis, chemise blanche à manches bouffantes, petite veste de cuir sans manche, bijoux, foulard, et bien sûr, une tricorne noire, font le costume de la Peste Rouge.
Emplacement du tatouage de clan :: Sur la poitrine
Tatouages :: Une hirondelle, sur la poitrine
Épaules :: Solides et carrées
Mains :: Grosses mains avec de longs doigts
Jambes :: Grandes jambes
Démarche :: Sûre et autoritaire

Sa voix :: Chaleureuse et grave

Première impression quand on le/la voit :: Il paraît quand même sympathique, mais comme on voit tout de suite que c’est un pirate, l’impression varie : il peut gagner le respect comme il peut gagner le doute.  


Histoire


1704, 07 septembre.

Enfin, nous sommes en mer. Je suis jeune, j'ai encore plein de choses à apprendre, et je suis conscient que mes imageries de navigation vont être brisées par les conditions difficiles, mais je suis si heureux. C'est une nouvelle vie pour moi, et peu importe comment dure ou misérable qu'elle sera, elle sera plus palpitante que mon enfance chez mes parents.

Ce ne sont même pas mes vrais parents, ils me l'ont dit. Apparemment, quelqu'un avait cogné à leur porte et quand ils ont ouvert, ils m'ont trouvé sur le porche et ont vu une silhouette féminine s'éloigner en courant. Je ne les ai pas aimés, car même s'ils faisaient de leurs mieux pour me traiter comme leur propre enfant, mais il y aura toujours eu ce malaise, qui prouvait qu'il aurait voulu mieux que moi. Sans compter toutes ces fois où l'un deux n'était pas de bonne humeur, ils déchargeaient leur colère sur moi peu importe ce que je faisais. Au moins, il y avait des moments plus intimes avec ma mère quand elle me racontait une histoire pour m'endormir. Et ceux où mon père m'amenait pêcher avec lui. Que voulez-vous, j'ai toujours aimé l'océan.

Mais maintenant, j'ai réussi à me faire engager par un marchand. Il m'a souvent vu travailler au port en train d'exonérer et je l'ai beaucoup harcelé pour qu'il m'embarque pour son prochain voyage. Tout va changer pour moi et vous savez quoi? J'ai aimé écrire tout ça, je crois que je vais continuer d'écrire de temps en temps. Quelqu'un sera peut-être inspiré de mon histoire et en écrira une pour moi, tandis que je naviguerai sur les océans.

1707, 23 janvier.


Je songe vraiment à rester sur terre après ce voyage. Les ordres sont stricts, la discipline est dure et alimente la peur. Le jeune matelot (de seize ans?) a trouvé un morceau de jambon salé au fond de la cale et ça a été considéré comme un vol. Il est présentement en train de subir le supplice de la grande cale. On se fait abuser par le capitaine, avec des tâches excessives et qui équivalent presque à du suicide.

Ça fait mal d'écrire ça, car malgré tout, j'aimerais rester en mer. J'adore ce mode de vie, mais ça me tue à petit feu, et il n’y a plus vraiment la liberté que je recherchais. Je pense encore à mon idée d'écrire pour encourager quelqu'un, n'importe qui, à écrire une hi

1708, 19 novembre.

J'ai enfin le temps d'écrire, ou plutôt devrais-je dire que je prends enfin le temps d'écrire. Il s'est tellement passé de choses, j'en ai pour un bon moment.

Si je n'ai jamais pu finir ma dernière lettre, c'est que nous nous étions fait attaquer. Une frégate de pirate est venue à notre rencontre et ces criminels nous ont tout pris. Je me suis battu jusqu'au bout, mais même si je n'en suis pas sorti gagnant, j'en suis sorti vivant. J'étais parmi les quelques otages, aligné et à genoux devant le capitaine. Derrière nous, des pirates attendaient l'ordre de leur capitaine pour nous trancher la gorge et nous jeter par-dessus bord s'il nous estimait inutile. Ce capitaine, Javier, était très difficile dans sa sélection de nouvelles recrues, si bien qu'il a exécuté ce qui restait de l'équipage. J'ai failli y passer, mais un miracle s'est produit. Une femme, semblable au capitaine mais en cent fois plus jolie, m'avait beaucoup examiné, tâté et touché avec une expression d'appréhension. Quand son chef est venu à moi, elle a eu une conversation très animée avec lui. Mes connaissances en anglais étaient très limitées, mais j'ai compris qu'ils parlaient de moi et que j'avais une mince chance de m'en sortir. En effet, ils m'ont recruté, et ma carrière de pirate a commencé.

Je n'aurai jamais cru le dire, mais c'est cent fois mieux que la vie de simple marin soumis. Quand j'ai le temps, je vais voir le coq. Il s'appelle Rubben, c'est un vieux Belge et il a l'air de tout savoir. Ce gars-là est un génie, et comme il parle aussi espagnol (il parle cinq langues), c'est lui qui m'aide à apprendre l'anglais et à comprendre ce qu'on me dit. J'adore cette liberté, et je crois que c'est exactement de ça dont je rêvais quand j'étais jeune et que je me faisais embarquer sur un bateau pour la première fois. La femme qui avait pris mon parti s'appelle Laura, et elle est le quartier-maître et la sœur du capitaine, Javier. Au début j'étais très inquiet qu'une femme soit à bord. Ça porte malheur, ça! Mais je me suis chassé cette idée de la tête, car Laura est mon mot porte-bonheur contre Javier, qui est vraiment un vrai scallywag. Personne ne l'aime vraiment, il y a juste Rubben qui a l'air de s'en foutre.

Bref, je suis heureux avec ce nouvel épisode de ma vie. Ça sera un bon épisode dans l'histoire qu'on écrira sur moi. J'y pense, je devrais embouteiller tous mes lettres et les jeter à la mer. Ainsi, on ne me recherchera pas et je ne connais personne d'autres sur cette frégate qui sait écrire des histoires à part Rubben, mais je ne veux pas qu'il se pose de questions. D'ailleurs, il en connaît des histoires. Quand on va boire sur le quai après le couvre-feu, il en a toujours une nouvelle. Ce matey est captivant, et le plus sage ami que je n’ai jamais eu.

1714, 02 décembre.


Il y a tant de personnes qui peuvent passer dans votre vie, puis partir en laissant leurs marques sur votre cœur. Ça n’a jamais été aussi faux avec moi. Pour ce qui s'est passé, en tout cas.

Ç'a été mon ascendance vers la gloire. J'ai appris une vérité qui m'as mis en colère. Rubben m'avait raconté une anecdote d'abordage. C'était il y a vraiment longtemps, peut-être presque une trentaine d'année. L'équipage avait pillé un navire marchand. Ils avaient capturé une femme avec l'intention de la violer, mais ça ne s'est pas passé ainsi, car elle portait un enfant et était prête à accoucher. Tout le monde était confus, quelques-uns avaient même suggéré de l'achever pour qu'elle cesse de hurler de douleur. Mais finalement Rubben l'a aidé à accoucher. Il a essayé de faire comme une sage-femme et quand il a vu que ça n'avançait à rien, il a pris son couteau et l'a utilisé pour aller chercher le bébé. À la blague et sous l'alcool, il m'a dit qu'elle me ressemblait beaucoup, et ça m'a donné des frissons, car je savais que ma mère était morte et que c'était probablement le cas de mon père biologique. Il a continué son histoire, expliquant à quel point qu'il s'en voulait d'avoir utilisé cette manière. Tous les pirates par-dessus bord argumentaient et sommaient presque pour la destruction du bébé parce qu'il provenait des entrailles d'une femme et que personne ne pouvait s'en occuper. C'est Laura qui les a fait taire et qui a proposé que puisqu'ils allaient bientôt arriver sur la terre ferme, elle allait trouver quelqu'un pour s'en occuper. Elle a trouvé une chaumière, a déposé le bébé sur le seuil, a cogné et s'est sauvée.

Cette histoire a été un coup de poing dans le ventre, car j'avais compris que c'était mon histoire. En plus, il a dit qu'ils avaient accosté à Baiona, la ville où mes parents adoptifs habitaient. Je n'en revenais pas. Laura s'était occupée de moi et m'a laissé à un couple qui me faisait presque sentir mal du fait que j'étais là. J'ai eu de la rancune, et j'ai raconté mon enfance à Rubben. Il était désolé pour moi, et il était sincère.
Je n'avais rien fait encore à Javier et à Laura, jusqu'à ce que cette dernière me confie qu'elle veut planifier une mutinerie contre son frère. Elle était venue me demander de l'aide pour diriger son acte de rébellion car elle savait que même si elle était un quartier-maître respecté, l'équipage ne la suivrait pas s'il comprenait qu'elle prendrait le relais pour Javier. J'ai donc organisé la mutinerie avec elle et nous avons réussi. C'était avec délectation que j'ai regardé Javier recevoir des coups de fouet pour ensuite se faire envoyer sous la quille, attaché à une corde. Avant son supplice, je lui ai pris son beau manteau rouge, juste pour le narguer, et il m'a traité de petite peste. Ça m'a inspiré pour un joli sobriquet: la Peste rouge. Je lui ai demandé son avis et il m'a dit d'aller crever en enfer. Le petit coquin.

Tout le monde pensait que tout est bien qui finit bien, mais pour moi, ce n'était pas fini. Car j'avais compris que Laura m'avait peut-être laissé être le capitaine, mais qu'elle comptait bien me manipuler pour être celle qui commande dans l'ombre. Je l'ai vu venir, et avec ma rancune pour son abandon, je lui ai fait une petite surprise. Nous avons jeté l'ancre pas loin d'une île déserte et je l'ai maronnée devant tout le monde avant de l'abandonner sur une île déserte. Œil pour œil, dent pour dent. Elle n'y a rien compris, mais elle n'avait pas à comprendre, tant qu'elle subissait.
Alors voilà, cela fait maintenant trois mois que je suis capitaine. J'ai nommé Rubben comme quartier-maître, et personne n’a trouvé cette idée fâcheuse, bien au contraire.

Je crois que si je devenais une légende, ce serait sous le nom d'Alvaro Suarez, dit la Peste rouge.

1715, 13 avril.

C'est mon anniversaire aujourd'hui, mais je n'ai pas le cœur à la fête. Encore une fois, j'écris cette lettre alors que je me fais bercer par les houles. En fait, c'est mon cœur qui produit des vagues.

Il y a de cela deux mois, nous avions intercepté un galion espagnol qui transportait des esclaves à son bord. Nous avions passé à l'abordage, comme d'habitude, pour en ressortir victorieux. J'ai vu les esclaves dans leur apparence misérable et j'ai eu pitié d'eux. Spécialement pour cette fille, qui regardait vers le ciel de ses grands yeux bruns et qui murmurait une prière de ses mignonnes petites lèvres roses, effrayée. Nous les avons tous affranchis et déménager sur notre frégate. Je leur ai donné équitablement ma part du butin, et quelques matelots, dont Rubben, ont fait de même. Nous avions mis le cap vers l'île de New Providence, pour laisser les esclaves se refaire une vie, caréner la frégate et dépenser notre argent.

Avant que nous arrivions à destination, j'ai parlé avec l'esclave qui regardait le ciel avec espoir. Elle était d'une beauté rare et sa timidité m'atteignait droit au cœur. Elle me craignait, et je la comprenais. Mais j'ai tout fait pour lui prouver qu'elle n'avait rien à craindre de moi. Un soir, sans que mes matelots ne se rendent compte de rien, je lui ai cédé mon lit et je suis allé dormir sur le quai. Elle connaissait un peu l'espagnol, ainsi nos échanges étaient superficiels, mais ça ne m'a pas découragé, d'autant plus qu'elle a fini par me dire son nom: Raja Bendjaballah. Quand nous avions mis pied sur New Providence, j'ai lui ai tenu compagnie et comme j'avais assez d'argent pour acheter une ferme, je lui ai construit une petite cabane. Ce n'était pas la plus belle, mais elle m'était déjà très reconnaissante et était bouleversée par mon comportement. Il faut dire que moi aussi j'étais bouleversé, mais par ses yeux, le parfum de ses cheveux, sa délicatesse quand elle bouge, ses belles lèvres, sa voix....

C'est pour ça que je suis parti de l'île, après lui avoir construit un logement, lui avoir suggéré des travails sécuritaires qu'elle pourrait faire pour gagner des sous et lui donner assez d'argent pour qu'elle puisse s'acheter une ferme, s'il le faut. J'ai mal pris ces bouleversements qui se passaient en moi. Je crois que je suis amoureux...mais j'ai déjà ma vie de rêve, non? Je suis libre de mes actes, je suis riche à chaque fois que je descends du navire et j'ai cette belle impression de ne faire qu'un avec l'océan et les vents qui me transportent vers l'aventure. Est-ce que tout ce temps-là, j'avais tort et en vérité ce serait avec Raja que je serais vraiment heureux? Mais rester avec elle implique tellement de choses: je ne pourrai plus retourner boire et flirter dans les tavernes les plus visitées par les hors-la-loi, je ne pourrai plus naviguer avant longtemps et...je serai avec Raja, la douce et belle Raja, mon petit espoir d'une vie meilleure et qui me rendra heureux jusqu'à la mort...

J'ai vraiment besoin de réfléchir, et naviguer devrait m'aider à le faire. Mais maintenant, j'ai surtout besoin d'une bouteille de grog.

Date inconnue.

Ma chère Raja,

Cette lettre est des plus vaines, car je ne sais même pas si elle se rendra jusqu'à toi et si tu seras capable de toute la lire. Si elle parvint entre tes mains, demande de l'aide à quelqu'un que tu peux faire confiance ou, bien mieux encore, trouve Rubben Jacobs. Il devrait être encore à New Providence et si tu lui dis qu'on se connait, il t'aidera plus qu'il ne le faut. Aussi, pourrais-tu saisir, dans ma malle-cabine, la bouteille avec plusieurs lettres dedans? Tu peux les lire, mais puis-je te demander de les jeter à l'eau après? J'aurais dû le faire depuis longtemps...

Je suis si désolé de ce départ précipité, Raja. Je ne voulais pas te faire de la peine. Crois-moi, je t'aimais, et ce n'était pas mon intention de te quitter. Je m'étais déjà sauvé de toi, après t'avoir laissée sur New Providence, car je croyais que ça ne pouvait pas être toi que j'aimais le plus au monde. J'ai fait un voyage, et tout le long j'étais torturé par ton image. Je t'avais laissé en sécurité, mais seule, et je m'en voulais énormément. Tu sais qu'un de mes rêves est de devenir une légende, mais pendant cette traversée je me sentais comme le plus misérable des vilains. J'ai beaucoup réfléchi à propos de toi, de moi et de nous. J'ai réalisé que j'essayais de me sauver d'un amour les plus délicieux que l'on peut avoir car j'étais persuadé que le seul amour que j'avais, c'était celui pour l'océan.

Je suis revenu pour toi, et je suis resté avec toi. Je t'ai cherché, et quand je t'ai enfin retrouvé, tu m'as reconnu. Je suis resté avec toi pour te protéger et pour te faire la cour, encore. Je t'ai offert mon cœur, et tu m'as comblé de bonheur quand tu l'as accepté. Tu as toi-même avoué ton amour pour moi, tu t'es ouverte à moi alors que tu as vécu l'enfer lors de ton ancienne vie. Pour moi, tu m'as laissé te prendre dans tes bras et tu t'es laissée bercer comme si c'était la plus belle chose au monde. Tu n'as pas pleuré de regret notre nuit d'amour en te remémorant tous les cauchemars qui y étaient liés. Nous avions chacun découvert qu'il y avait quelqu'un là pour nous qui nous ne ferai jamais mal, qui nous ne trahirai pas et qui nous ne ferai jamais de la peine. Après que nous avions fait l'amour, j'ai compris que je voulais vivre avec toi et que j'étais heureux à l'idée d'être à côté jusqu'à la fin. Je te l'ai dit tel quel, et j'ai demandé, sans cadeaux et sans rien, si tu voulais m'épouser. Tu m'as répondu de la plus délicieuse des façons. Cette demande de mariage était pour nous deux une promesse.

Nous nous sommes endormis ensemble, toi dans mes bras avec tes cheveux qui dégageaient leur doux parfum, et je me suis réveillé parce que j'avais entendu un bruit. Tu n'étais plus là, et tout avait disparu. J'étais sur un sol poussiéreux, dehors, et j'étais habillé de nouveau, comme si je partais encore une fois prendre les vagues. J'ai eu peur, j'étais confus, et j'ai cherché pour toi. Je criais ton nom et je hurlais ma rage de t'avoir perdu et de t'avoir brisé une promesse aussi rapidement. J'étais désespéré, peut-être même fou à l'idée que tu te réveilles sans moi, en concluant que je t'avais du mal, que je t'avais trahie et que je t'avais faite beaucoup de peine. J'ai cherché refuge, et j'ai trouvé de quoi écrire. J'y ai couché d'abord ma colère et ma tristesse, puis maintenant je te rédige cette lettre. J'ai voulu être ton héros, Raja, j'ai voulu rester avec toi. J'ai aucune idée de ce qui s'est passé mais crois-moi: les responsables paieront. Ils vont payer, et ils me supplieront de les épargner quand ils verront que je serai las de les torturer lentement pour les faire souffrir le plus possible, les porcs. Je te retrouverai, Raja, et c'est une promesse que je ne briserai pas, tu peux en être certaine.

Te amo, mi bella esperanza.

Alvaro Suarez, la Peste Rouge

Un peu de vous

Ton prénom :: Gabrielle
Ton âge :: 17
Ton puf:: Captain Gab
Expérience de rp :: Expérience suffisante

Comment as-tu découvert le forum? :: J’ai été sur un ancien forum qui m’a suggéré celui-ci.
Parrain/Marraine ? :: Non.
Tes premières impressions / choses à améliorer :: Rien à dire, à part que je trouve les logos des endroits vraiment génial. O.O
Code du règlement :: Mangé par Fléau

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Fléau Mortel
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MessageVen 13 Jan - 22:00
Bon bah... Bienvenue sur NA '^'
J'te valide, Cap'tain
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